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SeaAile est développé sur un navire unique en France concernant l'expérimentation maritime et idéal pour ses recherches, le TENKARRA.

Sa carène est similaire à la plupart des navires de plaisance.

Ainsi,nous sommes fort d'un objectif  validé par un besoin et des contraintes identifiées exhaustivement.


Le navire Tenkarra (consommant jusqu'à 350 litres/heures de gasoil) dispose d’une grande place de pont, sa carène semi-planante ne subit que peu de traînée permettant de réduire le dimensionnement  nécessaire et nos coûts d’étude afin de qualifier nos solutions pour un marché plus large.


La traction autonome est radicalement différente des concepts existants de simple appui aux moteurs afin de réduire occasionnellement leurs consommations. (pour ces solutions, la baisse instantanée de consommation recherchée est perdue dans la durée quand il devient nécessaire de regagner en cap).

 

 

Notre développement implique la validation expérimentale et l'optimisation des largages/récupérations afin de s'affranchir des contraintes de dimensionnement en fonction d'une surface de pont diponible.

A cette condition, il devient possible :

  • d'étudier une surface d'aile en fonction de la puissance recherchée pour obtenir une vitesse donnée.
  • de ne pas modifier la fonctionnalité de l'espace utile à bord (plaisance ou transport).
  • de proposer une solution efficace à tout type de navire quelles que soient leurs dimensions.

 

Cette validation est un préalable afin de proposer aux yachts et navires de plaisance un matériel simple d'usage et efficace permettant une augmentation de rayon d'action, une diminution de coûts d'emploi ainsi qu'une réduction moyenne des émissions carbonées lors d'une homologation.

Une aile de traction autonome constitue également un précieux matériel de secours.


La qualification de SeaAile permet d'envisager avec un changement de mentalité concernant la gestion des délais et/ou du nombre d'unité, une solution pérenne dans un avenir proche pour les plus grands navires de commerce afin de résoudre les problèmes de hausse des coûts de transport et les émissions carbonnées.


Plus spectaculaire encore, lors d'une modélisation numérique Dassault système a récemment validé l'interêt et la faisabilité du remorquage d'iceberg en zone présentant des déficits d"eau douce.

La traction par aile est envisageable afin d'augmenter leur vitesse de dérive.

La validation d'un concept permettant un grand dimensionnement est ici impérative.

 

 

 




Développement expérimental d'une aile de traction afin de permettre le déplacement d'un navire moteurs éteints jusqu'à 50° d'angle par rapport à la direction du vent ( grand largue, vent arrière).

Les performances visées sont une vitesse de 7 Noeuds (13 km/h), ce qui est une vitesse moyenne pour un voilier de type croisière) en présence d'un vent de 20 Nds (37 km/h).


Avantages :

  • un point de traction au niveau du pont diminue la gîte que crée la force appliquée au mat d'un voilier, permettant une évolution des dessins de carènes.
  • un meilleur passage de la carène par un soulagement de l'étrave.
  • le bénefice d'un vent plus établi en altitude et la possibilté d'aller chercher une inversion de masse d'air.
  • usage d'une énergie renouvelable et autonomie énergétique.
  • adaptabilité à tout les types de navires à moteurs existants.
  • coûts d''équipements et d'utilisation modique
  • Zéro rejet en utilisation
  • équipement auxiliaire ne modifiant pas les capacités initiales des navires.
  • dispositif de secours supplémentaire
Inconvénients :
  • routage spécifique et planification supérieure.
  • vitesse en baisse par rapport au moteur thermique.



Nous planifions, sous de brefs délais, une démonstration lors d'une transatlantique.

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